A Bruxelles, le nombre de consommateurs d’héroïne est estimé à plus de 4.100 personnes. Une part importante de la consommation se passe dans l’espace public : gare, parkings, rue, toilettes, entrées d’immeubles... En plus des problèmes avec les riverains, les conditions de consommation (insalubrité, saleté, manque d’hygiène, partage de seringue, etc.) exposent les usagers à des risques importants en matière de santé. Didier Gosuin : "Il faut avoir le courage d'aborder enfin cette problématique.