Comment vous êtes-vous lancées ?

En arrivant à Bruxelles, nous ne connaissions personne. C’est petit à petit et en faisant de bonnes rencontres que nous avons pu lancer notre projet. Nous voulions commercialiser, un produit simple et authentique de notre région en Italie : la piadina, un pain artisanal typique. Avec nos économies, nous avons donc directement investi dans un foodtruck.

Pourquoi avoir choisi de participer à des marchés ?

Après avoir aménagé notre camionnette/foodtruck, nous voulions proposer notre spécialité à la clientèle bruxelloise. Nous avons eu de la chance de rencontrer une personne d’Atrium Saint-Josse, qui nous a suggéré de nous inscrire sur le marché de Saint-Josse. Nous avons essayé mais notre produit n'a pas connu le succès escompté auprès habitants du quartier. C’est pourquoi nous avons décidé d’arpenter les différents festivals et brocantes de la ville afin de trouver des amateurs pour nos piadine.

Nous cherchions des endroits réguliers et finalement, grâce à l'organisme communal de Saint-Gilles ETS CHARVE, nous avons commencé à nous faire connaître sur le marché du Parvis de Saint-Gilles.

Vous prévoyez d’ouvrir une boutique prochainement, comment la Région vous a-t-elle soutenues dans ce projet ?

Avec Village Partenaire et Atrium, nous avons constitué un dossier, mieux défini notre concept et réalisé un business-plan pour évaluer la viabilité de notre entreprise future. Aujourd’hui, nous sommes à la recherche d’un lieu qui nous ressemble, avec un petit coin de terrasse.

Des idées pour améliorer la politique des pouvoirs publics concernant les marchés ?

Apporter des idées créatives aux marchés et proposer des concerts, spectacles et autres animations le rendant encore plus vivant et dynamique serait une plus-value. Cela ramènerait  aussi plus de gens et permettrait de développer le commerce.

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