Le Ministre bruxellois de l’Économie et 100 entrepreneurs bruxellois ont embarqué dans le « Train to Paris »
Le Ministre bruxellois de l’Économie et 100 entrepreneurs bruxellois ont embarqué dans le « Train to Paris »
Ce mercredi 28 juin, Didier Gosuin, Ministre bruxellois de l’Economie, a accompagné une délégation de 103 entrepreneurs bruxellois et est parti à la rencontre d’entreprises situées en Région parisienne, actives dans le secteur du numérique. Au programme : découverte de structures d’accompagnement d’entreprises numériques, visite d’accélérateurs thématiques d’initiatives entrepreneuriales et rencontre avec des entrepreneurs du numérique.
Le secteur du numérique occupe une place importante dans les politiques économiques mises en place en Région bruxelloise. Et pour cause. Le numérique à Bruxelles pèse 7,6% du PIB, soit un total de 5,1 milliards € contre seulement 1,23 milliards € en Wallonie (1,4% du PIB). L’industrie technologique compte 31.578 emplois, dont 60% directement dans le secteur TIC, 28% dans des services liés et 12% dans l’installation et la maintenance. Par ailleurs, 25% des startups belges sont situées dans le grand Bruxelles.
Pour faire de la Région un véritable centre de référence à l’échelle européenne, il fallait aller adopter des objectifs de développement concrets. « Début de cette année, j’ai lancé le Plan Next Tech. Un plan en 20 mesures qui a pour objectif de booster la création et la croissance des entreprises numériques, rappelle Didier Gosuin, Ministre bruxellois de l’Economie. Prochainement, je lancerai un appel à projet de 400.000 € pour accélérer la mise en place des mesures du Plan Next Tech en mettant l’accent sur trois technologies d’avenir : Virtual reality, l’internet des objets et le Big Data », poursuit le Ministre.
La participation du Ministre à l’opération « Train to Paris », organisée par BECI, est l’occasion de découvrir les mesures mises en place à Paris en matière d’accompagnement et de soutien aux entreprises numériques et voir dans quelle mesure celles-ci sont transposables à Bruxelles.
« Aujourd’hui, nous devons investir dans des secteurs porteurs qui feront l’économie demain. Nous devons prendre le virage de l’économie numérique en tirant profit des perspectives offertes et en limitant les barrières qui mettent en péril les possibilités de création de richesse et d’emploi au profit des Bruxellois », conclut Didier Gosuin.