Après un an, Circlemade compte déjà 29 entreprises zéro déchet ou presque !
Après un an, Circlemade compte déjà 29 entreprises zéro déchet ou presque !
Ils se lancent dans l’entrepreneuriat pour changer les conceptions actuelles de l’économie. Ils ont souvent la trentaine et produisent au départ de matières premières recyclées, de beaucoup de bons sens et d’une solide dose d’innovation, des produits accessibles à tous, bons pour l’environnement et qui à leur tour ne produiront pas de déchets. Avec les réalisations de ces entrepreneurs bruxellois, on mange, on lit, on boit, on s’habille, on rénove, on décore, … en pensant aux générations futures et à la planète qui leur sera laissée en héritage. Au travers de son cluster circlemade.brussels, qui fête son premier anniversaire ce mois-ci, hub.brussels encourage ces TPE et PME à innover, à collaborer avec de plus grandes structures pour augmenter l’impact sur l’environnement.
Créé en mai 2018, le cluster circlemade.brussels rassemble une trentaine d’entreprises et de nombreux partenaires publics et privés qui s’activent à changer les modèles économiques, à créer des systèmes vertueux, passant d’une économie linéaire à une économie circulaire.
En un an, des collaborations sont nées au sein du cluster. Les bocaux de Lili Bulk ont accueilli le Champignon de Bruxelles, DzeroStudio et Skyfarms travaillent ensemble pour multiplier les serres sur les toits des entreprises, Isatio et L’ouvroir se sont reliés pour créer des vétements à partir de déchets de production, le tout pour proposer aux consommateurs des produits utiles nés de matières premières vouées à la poubelle.
« L’enjeu pour Bruxelles n’est plus de poser les jalons pour l’accompagnement des PME en économie circulaire. Ce travail a été fait. Il faut à présent continuer à stimuler la demande en économie circulaire. Aider à vendre les produits et les services créés par les entreprises. Après un an, circlemade.brussels se positionne comme un lieu d’opportunités d’affaires. Il permet d’identifier de nouveaux marchés, mutualiser des campagnes de communication pour toucher le consommateur ou encore aller à la rencontre de grandes entreprises bruxelloises pour les sensibiliser à acheter ‘circulaire’ », explique Didier Gosuin, Ministre bruxellois de l’Economie.