Depuis des années, notre système d’enseignement a démissionné. Je ne cesse de plaider pour un réinvestissement dans l’éducation et la formation pour donner à tous, et surtout aux jeunes, les compétences adaptées à la réalité économique et aux besoins des entreprises.

Nous devons faire le deuil des modèles économiques dépassés et nous adapter aux nouvelles formes de production en misant sur l’innovation et les nouvelles technologies.

C’est pourquoi à Bruxelles, nous avons pris en charge la spécialisation de l’économie bruxelloise dans des secteurs porteurs, là où le potentiel d’emploi est le plus important et impactant pour la richesse de la Région. À travers la Stratégie 2025, nous avons ciblé 8 secteurs porteurs prioritaires à soutenir parmi lesquels le commerce, l’audiovisuel, le numérique, le tourisme et la culture, et la santé. C’est notre meilleure réponse au paradoxe bruxellois.

Carte blanche de L’ÉCHO du 5.5.17