Quel type d’entrepreneur fait appel à vous et pourquoi ?

Nous accompagnons des entreprises et commerçants très différents, de toutes nationalités ; issus du secteur tertiaire, du secteur commercial ou artisanal : garagistes, menuisiers, commerces de détail, micros brasseries, ainsi que de nouveaux commerces « hybrides » dont la formule ne rentre pas toujours dans une catégorie claire au niveau urbanistique. C’est là que notre plus-value joue un rôle clé.

Quelles sont les principales difficultés exprimées par les entrepreneurs bruxellois ?

Rien de neuf : la complexité et la lenteur pour l’obtention des permis d’urbanisme. Même un dossier simple implique beaucoup de préparation. Les entreprises doivent se déplacer à plusieurs adresses pour obtenir tous les documents. Pour un petit commerçant seul « à la barre », voilà qui est particulièrement chronophage.

Combien de temps en moyenne, suivez-vous le développement des entreprises ?

Cela varie entre une heure et quelques mails à 4 rencontres et une vingtaine de mails pour les projets plus complexes, plus problématiques avec un historique lourd ou des changements de budget au cours de l’accompagnement. Nous prenons parfois contact avec les administrations/autorités qui délivrent les permis, afin de nous assurer qu’un projet part dans la bonne direction.

Un conseil aux futur.e.s entrepreneur.e.s ?

Réseautez un maximum, renseignez-vous bien et puis lancez-vous ! On dit qu’un échec est un diplôme… Je suis convaincue que chaque expérience en apporte une autre.

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