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Atrium, Impulse et Innoviris déménagent et s'installent sous le même toit. L’objectif : rassembler la connaissance et l’expertise en un seul endroit pour mieux conseiller chaque Bruxellois porteur de projet. Au total, une centaine d'experts en innovation, en financement, en commerce, en urbanisme, en environnement... travaillent main dans la main pour assister l'entrepreneur bruxellois à chaque étape de son projet : de la création de son entreprise au développement de son activité.

Au 31 mars 2015, Actiris recense 105.960 chercheurs d’emploi inoccupés, soit une diminution mensuelle de 1.503 unités ( - 1,4%)  par rapport à février 2015. De quoi nous réjouir?  Partiellement seulement.  Car, à côté de la baisse réelle due à la remise à l’emploi des Bruxellois, s’ajoute une baisse artificielle consécutive aux mécanismes d’exclusion.

 

Depuis le 1er janvier 2015, les personnes qui perçoivent des allocations sur base de leurs études depuis 36 mois et plus ou celles qui n’ont pas suffisamment travaillé pour recevoir des allocations de chômage sont exclues du chômage. Les personnes exclues n’ont d’autre choix que de se tourner vers les CPAS pour pouvoir éventuellement bénéficier de revenu d’intégration sociale.

Ce matin, le Ministre Didier Gosuin copréside la première Conférence Interministérielle Santé en 2015. Au programme de cette conférence, quatre décisions qui auront un impact direct sur le bien-être des Bruxellois:

Ce matin, Didier Gosuin, Olivia P’tito (Bruxelles Formation), Geert Pauwels (VDAB) et Dominique Michel (Coméos) ont présenté la première formation bilingue en vente à Bruxelles.

L’objectif : répondre aux attentes du marché de l’emploi bruxellois en proposant des stages bilingues, français / néerlandais.

Le secteur du commerce de détail est un gros employeur à Bruxelles. Les offres d’emploi sans exigence de diplôme sont nombreuses et les perspectives d’emploi pour les jeunes sont importantes. Par contre, une offre d’emploi sur deux impose le bilinguisme.

 

Du 16 au 20 mars,Microstart organise la 4e édition de la semaine du microcrédit. Plusieurs actions auront lieu en Région bruxelloise​.

A l'origine outil de lutte contre la pauvreté, le microcrédit permet aujourd'hui à plus de 200 millions de personnes exclues du système bancaire d’avoir accès à des financements pour démarrer ou développer leur activité économique.

 

 

La Région bruxelloise est le premier bassin d’emploi en Belgique. Paradoxalement, elle est confrontée à un défi que connaissent de nombreuses grandes villes européennes : un taux de chômage élevé (20,7%), particulièrement chez les jeunes (27,8 %). 

Parmi les raisons identifiées : la faiblesse des qualifications (30% des jeunes n’ont pas de diplôme de fin de secondaire) et un manque de liens entre une population peu qualifiée et les besoins des entreprises.

La problématique des prépensionnés remis sur le marché du travail a déjà fait couler beaucoup d’encre en Belgique. A Bruxelles, le défi de l’emploi est énorme et multiple. Il est nécessaire de cibler les urgences.  


Depuis quelques jours, le dossier controversé des prépensionnés déchaine les passions en Belgique. Le Gouvernement Michel a décidé, en décembre dernier, que les prépensionnés devaient rester disponibles pour un emploi jusqu’à 65 ans. Seules exceptions à la règle, les personnes ayant plus de 60 ans à la fin de l’année 2014.

A Bruxelles, on recense plus de 123 aides différentes aux entreprises, offertes par plus de 60 structures de tout type.

 

Conséquence : les entreprises ne savent pas à qui s’adresser pour trouver de l’aide. Chaque structure développe des activités dans son coin sans cohérence ni synergie les unes avec les autres.

 

L’évaluation des stages de transition en entreprise (STE) le démontre : la mesure est efficace ! Entre mai 2013 et décembre 2014, les taux de mise à l’emploi sont respectivement de 45,8% pour les jeunes ayant réalisés un STE contre 29,3% pour les jeunes sans STE.